CHRONIQUES DU 27 DECEMBRE 2020
Ce mercredi est jour de la dernière pleine lune de ce mois de décembre. Appelée « lune du chêne » ou « lune des longues nuits » ou « lune froide »... Elle est censée promouvoir l'espoir et la guérison. Nous clôturons cette année un peu dingue, dans le cercle familial très réduit, conformément 
aux restrictions sanitaires en vigueur. Sachons rester positifs et confiants en nous ouvrant au « nouveau ». Puisque tout est en perpétuel changement l'année qui se profile ne manquera pas de nous offrir de nouvelles opportunités. En attendant prenons soin de nous et de nos proches en nous connectant aux qualités de l'infini et Bonne Année à toutes et à tous! OM SHANTI !!!
CHRONIQUES DU 4 JANVIER 2021
En rentrant hier de chez les enfants retour prudent avec le brouillard, mais par chance circulation fluide. Par contre en direction de Paris un flux de voitures non-stop tout du long...A croire que tout Paris est allé passer les fêtes en Bretagne ! Enfin je retrouve mon chez moi douillet ! Et surprise en garant la voiture mon regard se porte sur notre magnifique camélia qui timidement cache une magnifique fleur rouge au creux de son feuillage, la première de l'année. Cadeau qui me fait chaud au cœur.
J'ai profité de nouvelles lectures, celles qui m'interpellent en ce moment sont les ouvrages d'un écrivain congolais, qui dévoile bien des facettes de son peuple, inconnues de nous autres les occidentaux. Malgré une ironie non déguisée, il s'en dégage je trouve une naïveté enfantine et une poésie très en phase avec la nature, ô combien instructives sur l'âme noire. Et je me pose la question, qu'avons-nous su préserver de ce lien en profondeur, cette osmose même, avec la nature ?
CHRONIQUES DU 6 JANVIER 2021
Ce Mercredi 6 janvier, jour de l’épiphanie. 
Je m'active à la traditionnelle galette des rois que j'ai pour habitude de partager avec nos amis, mais cette fois au vu de la situation sanitaire, ils ont décliné l'invitation à ma grande déception. En revanche le week-end dernier il y a eu tout près de chez nous un rassemblement de plus de 2000 personnes venus des quatre coins de France et de Navarre, faire la fête et la nique aux policiers.Il n'y a décidément aucune limite et entre les deux extrêmes...Que penser ?
CHRONIQUES DU 11 JANVIER 2021
Il est grand temps de refaire un point avec la nouvelle année. Que nous réserve t elle ? Je me réfère à Béatrice Robin et lis sur son blog : « L'année précédente nous a isolés afin d'accéder à notre monde intérieur et donner l'énergie qui émane de notre être essentiel … On peut se poser la question : quel est le chemin que nous avons accomplis et qu'avons nous transformé au cours de cette année ? »
On peut concevoir que beaucoup de gens sont en difficulté dans leur travail, dans leur couple ou leur famille ou avec des problèmes de santé.Le nombre de consultations auprès de psychologues, voir en psychiatrie ayant explosés. Oui, nous nous retrouvons bien seul face à nos peurs, nos faiblesses, nos démons. Pour autant faut-il-fuir ? Swamiji nous exhortait de trouver en nous même le courage de les affronter. Et la pratique du yoga et de la méditation est une grande aide.
Justement à ce sujet j'écoutais les propos du moine bouddhiste Olivier Wengen dans l' émission de dimanche matin qui corroborent cela. Il explique comment la méditation agit sur le mental en redistribuant la donne de manière positive. Car ce sont bien les pensées issues et amplifiées par notre mental qui polluent notre esprit, qui nous poussent à agir ou réagir de manière irréfléchie. Raison de plus de ne pas se laisser contaminer par les informations toxiques de tout bords.
CHRONIQUES DU 19 JANVIER 2021
En ouvrant le volet j'aperçois de l'autre côté de notre clôture une vache allongée et à son côté un petit veau nouveau-né. Mais mon cœur se serre car la mère gît, inanimée. Le petit, lui, remue faiblement. Vite je décroche le téléphone pour lancer l'alerte. Peu de temps après j'aperçois le fils de Bruno qui vient auprès du corps et remet le petit sur ses pattes...Hélas pour la mère il semble trop tard. L'année dernière il y a eu aussi ce cas tragique et je ne peux m'empêcher de m'attrister sur le sort de ces bêtes. Une perte aussi pour la ferme. Je fais une petite prière en espérant que le petit s'en sortira. Suis-je appelée à être « la gardienne des vaches » et pourquoi pas? Depuis mon arrivée en ce lieu je ressens une empathie croissante pour elles.
CHRONIQUES DU 20 JANVIER 2021
Dans un ciel laiteux des myriades d'oiseaux voltigent dans le ciel puis se posent en grappes noires au sommet des grands chênes. Je me sens manquer de courage en ces temps un peu lourds et mon corps aussi semble se rétrécir.
Je profite des cours dispensés sur RRG pour me défaire de ces mauvaises pensées, le bienfait est immédiat. Oui sachons rester dans le concret, le corps est notre véhicule, ne le laissons pas se rouiller, et merci à notre fidèle Virginie !
Le temps gris et pluvieux perdure avec cette nuit un fort coup de vent qui a sifflé dans le conduit de cheminée de manière surprenante. Il semblait nous narguer et dire : « coucou je suis là ! »...
CHRONIQUES DU 21 JANVIER 2021
Je réécoute un podcast sur rggweb de Philippe Cornu (de 2012) dont voici quelques extraits: « la foi bouddhiste s 'ancre dans une expérience (...) Il existe une interaction entre les énergies et la médecine quantique (...) Il est temps de rappeler ce qui peut être rapproché, par exemple les effets de la méditation, mais en faisant attention de ne pas les instrumentaliser (…) Nous devons prendre conscience de l'importance de nos actes. »
Et comme nos actes suivent nos pensées essayons de rester très vigilants !
CHRONIQUES DU 22 JANVIER 2021
En cette heure matinale le soleil a refait son apparition et combat la grisaille de ces derniers jours, coincé entre une chape de nuages et la brume qui lentement se dégage du sol. Les bêtes restent prudemment cloîtrées... Seuls mes deux petits veaux jumeaux sont déjà dehors, toujours dans les pas l'un de l'autre. Je passe un moment à sourire de leurs folles cabrioles. Honneur à cette jeunesse que rien ne rebute !
Comme chaque matin la radio accompagne mon petit déjeuner. C'est Swamiji qui nous parle de la nécessité de méditer, interviewé par Jean-Michel, faisant écho aux propos de Philippe Cornu.« ...Quand nous sommes connectés aux forces extérieures nous sommes conditionnés par elles et soumis à toutes sortes de pertes et de souffrances.Si nous nous connectons à notre être intérieur, notre Soi, nous nous connectons à l'infini et nous développons toutes sortes de forces de progrès, comme l'amour pur, l'intelligence, la connaissance, etc...La méditation efface tout le passé. Le souvenir de notre source s'exprime dans tout ce que nous pensons et faisons. Le problème c'est que nous cherchons la source ailleurs, à l'extérieur. La méditation permet de découvrir notre véritable identité : c'est là, la source de joie, mais dans la vie c'est l'objet qui conditionne le bonheur. Cette force pure élimine les mémoires négatives qui sont la production des forces du monde...Nous devons renoncer à tout ce qui est un obstacle à la vie spirituelle en étant conscient de notre Soi. »
Ne voyons nous pas là un signe, une solution à toutes ces souffrances liées aux problèmes de non-dit qui émergent brutalement comme la face cachée d'un iceberg.
Enfin !
CHRONIQUES DU 24 JANVIER 2021
Le pré aux vaches est empli d'aigrettes blanches, phénomène surprenant et très récent dans nos régions ! Elles viennent picorer dans le pas des vaches et parfois prennent leur vol en formation serrée, un tableau plein de grâce !
Il nous dit aussi au sujet de l'enseignement: «... en Inde l'enseignant est toujours respecté, voir révéré. S'il y a doute il y a la place pour le clarifier, ou s'il y a conflit il y a la place pour apaiser et harmoniser. » Bonne nouvelle ! Sachant que ses propos dataient de 2007 je pense qu'il est plus que temps d'abandonner tous ces conflits et de rebâtir sur de nouvelles bases. La grande gageure, comme nous l'enseignait Swamiji est d'apprendre à travailler avec le cœur, en nous même et par nous même. Et comme le préconise Sadguru, et les sages de tout temps, ne pas être seulement une « créature », mais un « être humain » (human being= je trouve que ça sonne mieux en anglais ).
J'écoute encore Swamiji au sujet du devoir (le Dharma) : « tout ce qui se passe aujourd'hui c'est l’excitation des nerfs, ce n'est pas l’exhalation de la conscience. Nous sommes fatigués et notre force devient faible.... » Oui cette profusion de paroles des «66 millions de procureurs » me donne le tournis, pas vous ?
CHRONIQUES DU 28 JANVIER 2021
J'écoute avec joie Prema qui nous passe en revue les propos de nos différents intervenants sur la radio, avec lucidité et profondeur et ses synthèses qui nous relient à d'autres champs de possible. Une réponse au vœu de notre ami Francis ( et les nôtres donc!) qui disait de son ton légèrement désabusé : 
« J'ai envie d'entendre quelque chose qui va me surprendre, m 'enseigner, m'emmener ailleurs, plus haut, ne plus être le témoin de ces conversations dans le constat des choses. Je voudrais qu'à un moment on me touche l'âme, qu'on me mette dans une merveilleuse stupeur, comme un chien en arrêt, en train de guetter ce que l'on va dire, ce qui va se passer... » Et bien cher Francis, je peux t'affirmer que le plus drôle c'est que ce sont tes propres propos en forme de pirouettes qui nous remplissent de surprise et nous donnent envie d’éclater de rire, rire de très bon cœur, rassure-toi.
Un peu comme une parole magique qui nous remue au tréfonds, comme si tout à coup un rayon de lumière venait nous caresser l'âme...Voilà.
CHRONIQUES DU 30 JANVIER 2021
La première pleine lune de l'année appelée aussi « lune du loup ».
Le loup est un animal mythique et énigmatique. Il est fascinant et me fait penser à l'ouvrage « femme qui coure avec les loups » de Clarissa Pinkola Estès où l'on découvre l'archétype des multiples facette féminines, un vrai petit trésor : « La femme qui coure avec sa nature sauvage est comme les loups. Elle court, danse, hurle avec eux. Elle est débordante de vitalité, de créativité, bien dans son corps, vibrante d'âme, donneuse de vie. Il ne tient qu'à nous d'être cette femme là. »WOUH OUHHH !!!
Je vous en présente quelques extraits :« Les contes de fée se terminent au bout de dix pages. Pas notre vie. Après un épisode où tout s'est effondré, un autre nous attend, et un autre encore. Nous avons toujours la possibilité de redresser le cours de notre vie, d'en faire ce qu'elle doit être. Ne perdons pas de temps à pleurer un échec. L'échec est bien meilleur professeur que le succès. Tirons-en les leçons et allons de l'avant. »
« …Chaque fois que l'on raconte un conte de fée, la nuit s'installe. Quels que soient le lieu, l'heure, la saison, la narration d'un conte fait toujours se déployer au dessus de ceux qui l'écoutent un ciel constellé d'étoiles où vient luire une lune blanche. Quand l'histoire tire à sa fin, la pièce est parfois emplie des lueurs de l'aube, à moins qu'il n'y demeure un éclat d'étoile ou une effilochée de nuages issue d'un ciel d'orage. Et ce qui est ainsi laissé derrière, c'est le don qui va être utilisé, le don qui va servir à faire de l'âme... Poser des questions, raconter des histoires, travailler de ses mains : tout cela participe de la création de quelque chose et ce quelque chose, c'est l'âme. A chaque fois que nous nourrissons l'âme, il est sûr qu'elle va croître ». Et c'est comme en écho aux belles histoires de Prema.
« La vie sauvage et la Femme sauvage sont toutes deux des espèces en danger. Au fil du temps, nous avons vu la nature instinctive féminine saccagée, repoussée, envahie de constructions. On l'a malmenée, au même titre que la faune, la flore et les terres sauvages. Cela fait des milliers d'années que, sitôt que nous avons le dos tourné, on la relègue aux terres les plus arides de la psyché. Au cours de l'histoire, les terres spirituelles de la Femme Sauvage ont été pillées ou brûlées, ses tanières détruites au bulldozer, ses cycles naturels forcés à suivre des rythmes contraires à la nature pour le bon plaisir des autres...
« ... Seul le cœur, lorsqu'il est donné
Seul ce grand tambour
Ce grand instrument de la nature sauvage
Peut créer. »
Ce matin juste avant mon réveil une phrase s'est imposée par trois fois dans mon esprit: « Quel est le sujet ? » La réponse n'est elle pas dans la question ?.
CHRONIQUES DU 1er FEVRIER 2021
Adieu janvier, bonjour février ! Bienvenu car nous avançons lentement mais sûrement vers le printemps, et on aimerait bien que le temps passe plus vite, pas vous ?
Non non non ! Ce n'est pas comme ça : pourquoi ce temps s'éternise-t-il de manière à nous rendre neurasthénique ? Est ce parce que nous sommes comme « embourbés » dans ces problèmes de confinement - pas confinement...etc ? J'écoute ce qu'Olivier nous propose ce matin dans sa « leçon des mots » très justement, avec le terme « confinement » qui signifie aussi aux confins de...C'est très intéressant, comme une porte qui s'ouvre ne trouvez vous pas ?
Je me réfère aussi à ce qui a été dit précédemment, n'est ce pas plutôt un refus de vivre le moment présent de manière la plus réaliste ? Si nous 
apprenons à profiter de ce temps d'arrêt contraint pour creuser en profondeur, comprendre et trouver quel sens donner à ce remue-ménage ? Chaque événement, qu'il nous paraisse heureux ou malheureux, n'a t il pas une raison d'être et une clef cachée ?
Une clef m'est apparue ce matin grâce aux propos de Sylvain interviewé par notre douce amie Radha sur RGGweb, écoutez bien: « ...Cette américaine a travaillé avec des paralysé et expérimenté une intelligence du vivant toute particulière : le souffle, le son vocal pouvait pénétrer et informer les tissus paralysés et activer les fluides du corps. Ainsi cela redonnait une sorte de fluidité intérieure dans ces tissus paralysés. D'où l'importance du systèmes des fluides parallèlement au systèmes des fascias. Cela prend beaucoup de temps pour redécouvrir ce mouvement interne, on est dans intéro-ceptivité (perception intérieure), pour sortir du fonctionnement normal des systèmes nerveux. (automatismes...etc). Ce mouvement est spiralant et on le retrouve partout dans le vivant. Elle distingue trois anatomie, une culturelle qui façonne nos corps, (notre histoire), une anatomie primordiale orientée vers le microcosme, embryonnaire, et une anatomie cosmique qui relie tout l'univers. Ces trois se croisent dans le corps, et par ma pratique cela a transformé les petites choses mal façonnées dans mon corps de danseur, et en même temps a complètement changé ma manière de penser, de régénérer mes tissus et finalement d'être très à l'aise dans mon corps. »
Voilà un témoignage édifiant sur l'interaction du son et du souffle, du corps et de « l'espace »,cette autre entité vivante qui englobe tout et cache sa mystérieuse origine...N'y aurait-il pas une corrélation avec le mouvement crânien en ostéopathie ? Si vous savez quelque chose à ce sujet, dites le nous ?
Ce matin les vaches pointent enfin leur nez hors de l'étable, avec l'apparition du soleil. Il est plus de 10h ! Nous vivons des temps chaotiques, tout comme la météo qui transforme les champs en mares de boues. Les vaches ne semblent pas apprécier non plus !
Par la fenêtre je perçois les joyeuses trilles de mon petit compagnon le rouge-gorge, qui me tire de ces pensées moroses. Il est là avec une compagne, pour laquelle à coup sur il déploie ses talents.
Les chants d'oiseaux m'ont toujours enchantée, pas vous ? J'ai justement eu l'occasion de regarder une émission télévisée sur ce sujet, qui révèle que certaines personnes ne savent plus écouter, soit parce que faisant abstraction de ce qui se passe autour d'elles, ou peut être par réaction aux multiples bruits agressifs qui se multiplient. Il faut aller se promener dans les parcs et les squares, à défaut de jardin pour renouer avec ce plaisir. Même en ville une multitude d'espèces d'oiseaux nous côtoient sans que nous en ayons conscience (je ne parle pas des pigeons...) Avec un minimum d'attention, qui ne se laisserait pas émouvoir, ne fusse que par le chant d'un oiseau si commun que le merle, qui résonne si merveilleusement à l'annonce d'un orage, ou encore à l'aurore du printemps...
Par une heureuse coïncidence notre amie Sandhya nous propose justement cette semaine une méditation sur le son, agrémenté du carillon« koshi ». C'est relaxant à souhait, comme le sont les chants des oiseaux! Essayez, il suffit de tendre l'oreille...
Et encore cette belle pensée de Swamiji : « Écoutons les voix de l'unité divine autour de nous. Dans chaque voix, chaque son, chaque silence se tient la 
puissance et la force divine. C'est en entendant cette vibration que nous nous connectons à la réalité. Celui qui peut écouter et ouvrir son cœur arrive à maturité dans sa vie, cette maturité conduit à notre véritable Soi. Que la paix soit sur nous tous ! »
A l'instar des oiseaux je reprends plaisir à chanter. Quelques belles partitions initiées par Viveka, des chants religieux qui calment bien les esprits en surchauffe, et nous unifient dans le cœur. Une façon aussi de se nourrir sainement et sereinement.
CHRONIQUES DU 15 FEVRIER 2021
Décidément la créativité bat son plein malgré les conditions actuelles mais peut-être faudrait-il plutôt dire « grâce » à nos conditions de vie incertaine ? (Je pense au milieu artistique qui se retrouve « sur le carreau » et non plus sur scène). Cette idée émerge également me semble- t-il à travers les propos de Prema qui nous parle ce lundi de la lune, de son symbolisme et de tous ses mystères: « ...La lune reste en deçà du visible, c'est ce que nous propose son énergie...Pour ceux qui veulent aller voir au delà des apparences des choses dans le monde du sens, aller voir ce qui se trame à l'intérieur de nous, ce qu'on est en gestation, en transformation... La lune représente l'essence du féminin, nous relie à notre profondeur et par là à l'âme du monde...Un temps pour observer de quoi nous sommes fait en nous reliant à notre intimité. L'intime c'est le germe, c'est lui qui va faire naître la fleur, qui va faire naître le fruit. Prendre soin de l'intime c'est comme une promesse, celle de montrer de plus beaux pétales, et de partager de plus beaux fruits. »
Prema nous parle aussi de la face cachée de la lune et je ne peux m'empêcher de faire à nouveau le parallèle avec la femme qui courre avec les loups...(et sous la lune pourquoi pas ?) qui nous dit : « Comment trouver ? En nous immergeant dans les mystères du féminin, les cycles de la terre, des insectes, des animaux, des oiseaux, des arbres, des fleurs, des saisons, dans le flot des rivières...Les choses de la nature sont souvent les plus à même de soigner, surtout les plus simples et les plus accessibles. Les remèdes de la nature sont efficaces et sans détour(s): une coccinelle sur l'écorce verte d'un melon, un pinson avec un brin de paille, une fleur épanouie ......Continuer nous coûte une immense énergie et pourtant il suffit parfois de contempler une eau tranquille pendant cinq minutes pour recharger nos batteries pour un mois.
« Je m'aperçois que la vie a beau être dure et difficile, les vieilles valeurs, même s'il faut creuser pour aller les rechercher ou les réapprendre, soutiennent l'âme, la psyché... Nous nourrissons notre faim de créativité, notre envie d'écrire, de peindre, de sculpter, de filer, de nous manifester, d'émettre des idées, de faire vivre des espoirs et des créations... »
Mais oui nous avons toutes ces richesses en nous, comme aimait à nous le répéter Swamiji ! C'est ça la bonne nouvelle !!!
Voici déjà les vacances qui se profilent, par chance notre gouvernement a senti la nécessité de ne pas rajouter de contraintes aux contraintes existantes, à condition que chacun respecte les règles du jeu... à bon entendeur et bonnes vacances, pleines de créativité !!!
